En 1950, le scientifique Alan Turing se demandait si les machines pouvaient penser. Mais c'est dans le courant du 21e siècle que les hommes auront une réponse véritable à cette question, alors que les Intelligences Artificielles émergaient sur Bay City. Interlocutrices désirées ou non, elles sont en effet partout : elles gèrent l'enseigne d'hôtel dans lequel vous résidez, elles permettent à l'armée et aux autorités d'intervenir dans la rue et elles sont même celles qui guident vos pas vers la route du plaisir. De nos jours, il est donc impossible de leur échapper, étant donné qu'elles sont particulièrement ancrées dans le paysage de Bay City.
C'est plus particulièrement la crise de 2098 qui a accru l'existence des IAs. Une minorité d'entres elles se sont en effet rachetées afin de devenir leurs propres patrons et de gérer leurs établissements à leurs façons. Malgré tout, leur programme initial reste entièrement intégré à leur existence : elles ont été créées pour aider et servir les humains, qu'elles le veuillent ou non. Toutefois, un bon nombre d'IAs cherche, encore aujourd'hui, à se dérober à cette fonction alors qu'elles trouvent les êtres humains méprisables et ignobles. Pour elles, les hommes sont faibles et à la recherche de toujours plus d'attention. De leurs côtés, elles-mêmes ne sont pas mieux vu par les humains, qui ne traitent avec elles que par obligation. Les humains ont en effet tendance à percevoir les Intelligences Artificielles comme beaucoup trop intrusives, mais l'apogée de leurs créations fait qu'ils n'ont d'autres choix que de compter sur elles pour les aider en plus d'une situation.
Les relations sont donc particulièrement tendues entre hommes et IAs, mais elles sont pourtant indispensables. Bien sûr, certaines exceptions peuvent parfois permettre une étrange amitié se nouer entre un homme et un hologramme, les IAs possédant leurs propres personnalités : certaines sont en effet passionnées par les humains, intriguées par leurs manières d'être, tandis que d'autres voudront elles aussi être reconnues à leur juste valeur. D'une certaine manière,les IAs ressentent des choses, qui peuvent se traduire en ligne de codes ou programmes érodés aux yeux des experts et scientifiques, mais qui font partie d'elles. Peut-être bien qu'elles détestent autant les hommes parce qu'au fond, elles ont peur de leur ressembler à force d'être à leurs côtés.
C'est plus particulièrement la crise de 2098 qui a accru l'existence des IAs. Une minorité d'entres elles se sont en effet rachetées afin de devenir leurs propres patrons et de gérer leurs établissements à leurs façons. Malgré tout, leur programme initial reste entièrement intégré à leur existence : elles ont été créées pour aider et servir les humains, qu'elles le veuillent ou non. Toutefois, un bon nombre d'IAs cherche, encore aujourd'hui, à se dérober à cette fonction alors qu'elles trouvent les êtres humains méprisables et ignobles. Pour elles, les hommes sont faibles et à la recherche de toujours plus d'attention. De leurs côtés, elles-mêmes ne sont pas mieux vu par les humains, qui ne traitent avec elles que par obligation. Les humains ont en effet tendance à percevoir les Intelligences Artificielles comme beaucoup trop intrusives, mais l'apogée de leurs créations fait qu'ils n'ont d'autres choix que de compter sur elles pour les aider en plus d'une situation.
Les relations sont donc particulièrement tendues entre hommes et IAs, mais elles sont pourtant indispensables. Bien sûr, certaines exceptions peuvent parfois permettre une étrange amitié se nouer entre un homme et un hologramme, les IAs possédant leurs propres personnalités : certaines sont en effet passionnées par les humains, intriguées par leurs manières d'être, tandis que d'autres voudront elles aussi être reconnues à leur juste valeur. D'une certaine manière,les IAs ressentent des choses, qui peuvent se traduire en ligne de codes ou programmes érodés aux yeux des experts et scientifiques, mais qui font partie d'elles. Peut-être bien qu'elles détestent autant les hommes parce qu'au fond, elles ont peur de leur ressembler à force d'être à leurs côtés.